Comment une douleur idiopatique s'est estompée puis est partie.

La compréhension se fait d'une manière non intellective mais globale ou inclusive (reliée au tout, au vivant).

Une séance personnalisée est mise en place afin de procéder à une étude plus approfondie de la personne.

Les exercices proposés ne nécessitent aucun prérequis physiques. Le but est d'améliorer la coordination des mouvements. Selon les zones physiques touchées, les cristallisations apparaissent (par exemple claudication, raideurs du dos, blocages de la nuque, mauvaise perception et navigation spatiale, etc...).

Les mouvements proposés ont pour but de faire assimiler une nouvelle compréhension, avec des nouveaux chemins neuronaux créés par les exercices et la libération progressive des organes ou membres.

Progressivement un dialogue s'opère entre les hémisphères du cerveau et la personne se sent moins isolée. Intervient ensuite la dimension des organes périphériques qui se retravaillent avec le foie, le coeur et les reins.

Le fonctionnement ontologique du corps et de la relation des organes permet d'apporter un éclaircissement sur certaines pathologies et de comprendre la chaine ( traumas, blocages etc...) qui en découle.

Pendant le process, il arrive qu'une douleur ancienne poind au participant avec la prise de conscience qui va avec.

Lorsque cette douleur est liée à un schéma familial et non individuel, elle apparait pour pouvoir être enfin évacuée.

Tout un cheminement se met en place et, après une introspection corporelle et mentale, cette douleur peut-être clairement nommée.

L'explication succinte est :

l'étude et les exercices ont pour but de redonner de l'amplitude aux mouvements, de refaire circuler le flux des organes dans le corps. Ce process isole au fur et à mesure certaines zones du corps péjorées ainsi que l'état de la psychée.

Une fois le ou les organes repérés, s'ensuit une suite d'exercices et de mouvements libératoires.

Passer par le physique pour libérer l'émotionnel:

les enchainements physiques ont permis la libération de cette mémoire transgénérationnelle et de redonner toute la latitude de mouvement à la zone concernée. Le cortex cérébral est libéré de l'excès de cortisol.

Comme souvent la participante a travaillé des années dessus sans comprendre d'où cela venait et pourquoi elle n'atteignait qu'un repos relatif de cette douleur idiopathique.